09-02-2014, 01:44:15
Chao apprit la triste nouvelle, elle avait perdu un frère.
"Toglu a périt sous les coups d'un féticheur." lui a-t-on dit.
Mais elle le savait, elle l'avait regardé partir, sans comprendre. Imaginant mille gestes héroiques, mille sacrifices pour sauver ses camarades. Toglu était brave. Il était gentil. C'est bien, la gentillesse.
S'il n'y a pas de poules dans le Coran, c'est parce qu'ils ne mangent pas beaucoup d'oeuf. Et pourtant, l'omelette était faite.
Elle hocha la tête, elle savait qu'il ne reviendrait plus dans ce tunnel. Elle regarda son papy pour lui expliquer.
"Pas de bananier sans sable fin. [ Il a prit de gros risques. ] La fumée touzours explose, si le pince-nez n'est pas avarié. [Toglu a fait le kamikaze, sans exploser à la fin.] Et la date du bédouin, du bermuda sans fléssir, extirpe l'étranze avalansse sans sourire. [ Et du coup, il a prit des mandales à en crever.]
D'un geste de la main vers le ciel, elle accompagna l'âme du jounwoud vers les cieux, et fonça vers un gobelin pour venger cet ami perdu sur le champ de bataille. La première victime, en espérant que ça soit la dernière.
C'est en reprenant position, psalmodiant quelques sonnets hirsutes, qu'elle observa l'horizon avec tristesse.
C'était un grand guerrier qui quittait là la troupe, et il était évident que son absence allait se faire ressentir.
Ses flèches aux pointes acérées, qui martyrisait les armures ennemies...
Ses assauts aux impacts premiers, qui perforaient les âmes impies...
Il n'était pas un seul homme qui pourrait se targuer de ne pas regretter cette perte inestimable.
Les rangs se resserraient, les coups devenaient plus hargneux. Tout le monde venait, en voyant sombre cet Achille des temps modernes périr, de réaliser l'ardeur de la tâche qui les attendaient.
Il ne fallait plus rien laisser au hasard.
"Toglu a périt sous les coups d'un féticheur." lui a-t-on dit.
Mais elle le savait, elle l'avait regardé partir, sans comprendre. Imaginant mille gestes héroiques, mille sacrifices pour sauver ses camarades. Toglu était brave. Il était gentil. C'est bien, la gentillesse.
S'il n'y a pas de poules dans le Coran, c'est parce qu'ils ne mangent pas beaucoup d'oeuf. Et pourtant, l'omelette était faite.
Elle hocha la tête, elle savait qu'il ne reviendrait plus dans ce tunnel. Elle regarda son papy pour lui expliquer.
"Pas de bananier sans sable fin. [ Il a prit de gros risques. ] La fumée touzours explose, si le pince-nez n'est pas avarié. [Toglu a fait le kamikaze, sans exploser à la fin.] Et la date du bédouin, du bermuda sans fléssir, extirpe l'étranze avalansse sans sourire. [ Et du coup, il a prit des mandales à en crever.]
D'un geste de la main vers le ciel, elle accompagna l'âme du jounwoud vers les cieux, et fonça vers un gobelin pour venger cet ami perdu sur le champ de bataille. La première victime, en espérant que ça soit la dernière.
C'est en reprenant position, psalmodiant quelques sonnets hirsutes, qu'elle observa l'horizon avec tristesse.
C'était un grand guerrier qui quittait là la troupe, et il était évident que son absence allait se faire ressentir.
Ses flèches aux pointes acérées, qui martyrisait les armures ennemies...
Ses assauts aux impacts premiers, qui perforaient les âmes impies...
Il n'était pas un seul homme qui pourrait se targuer de ne pas regretter cette perte inestimable.
Les rangs se resserraient, les coups devenaient plus hargneux. Tout le monde venait, en voyant sombre cet Achille des temps modernes périr, de réaliser l'ardeur de la tâche qui les attendaient.
Il ne fallait plus rien laisser au hasard.