05-02-2014, 00:05:41
Farouk avait quitté depuis de nombreux jours Babylios et son désert pour partir à l'aventure vers des contrées sauvages et exotiques. Peu après son départ de la perle des sables, l'assassin avait été rejoint par Hanish qui semblait décidément le surveiller de près. Farouk ne s'était pas opposé à la présence du mystérieux personnage – pas plus qu'il ne l'avait encouragée – et ce fut par cet accord tacite que les deux individus firent donc route ensemble.
Après avoir quitté le désert de Salith, ils franchirent tout d'abord la Loreline pour ensuite longer le Sorlin en direction du nord. De l'autre côté du fleuve, les deux hélions pouvaient contempler l'imposante forêt de Korri qui s'étendait aussi loin que pouvait porter leur regard, tant au sud qu'au nord. Tandis qu'il poursuivait sa route, Farouk ne cessait de contempler cette majestueuse forêt de laquelle il ne pouvait détourner le regard. Celle-ci le fascinait, l'attirait. Tous ses sens étaient tournés vers elle, tant auditif, qu'optique, tant olfactif que cognitif. Cette diversité végétale, cet étalage de couleurs, cette profusion d'odeurs, ce concert de chants... Il était décidément bien loin de l'environnement désertique auquel il était habitué !
Lorsqu'il avait décidé de quitter Babylios, Farouk n'avait pas réellement de but ni de destination. Il n'aspirait qu'à l'aventure. Une aventure faite de dangers, de découvertes et de richesses. Une aventure qui le rendrait plus fort, plus aguerri et plus riche. Plus il observait cette forêt et plus Farouk nourrissait de fantasmes à son sujet. Naguère, des aventuriers lui avaient narrés des récits de leurs aventures. Des récits parlant d'une faune dangereuse et hostile vivant au cœur de la forêt de Korri. Une faune faite d'animaux mais également d'esprits. Les marchands, lui avaient quant à eux contés les richesses que représentait la diversité de la flore que l'on pouvait y trouver. Des espèces si rares, qu'une seule plante suffisait à rendre un homme plus riche qu'il ne pouvait l'espérer. La tentation était trop forte. Farouk ne pouvait passer à côté de telles opportunités !
Sans même prendre la peine de prévenir son compagnon de route, Farouk se jeta soudain à l'eau. Il brava le courant du Sorlin pour finalement atteindre la rive opposée sous le regard interloqué – mais pourtant toujours serein – d'Hanish. Celui-ci ne tarda d'ailleurs pas à l'imiter et à le rejoindre tandis que Farouk prenait désormais la direction de l'orée des bois.
Après avoir quitté le désert de Salith, ils franchirent tout d'abord la Loreline pour ensuite longer le Sorlin en direction du nord. De l'autre côté du fleuve, les deux hélions pouvaient contempler l'imposante forêt de Korri qui s'étendait aussi loin que pouvait porter leur regard, tant au sud qu'au nord. Tandis qu'il poursuivait sa route, Farouk ne cessait de contempler cette majestueuse forêt de laquelle il ne pouvait détourner le regard. Celle-ci le fascinait, l'attirait. Tous ses sens étaient tournés vers elle, tant auditif, qu'optique, tant olfactif que cognitif. Cette diversité végétale, cet étalage de couleurs, cette profusion d'odeurs, ce concert de chants... Il était décidément bien loin de l'environnement désertique auquel il était habitué !
Lorsqu'il avait décidé de quitter Babylios, Farouk n'avait pas réellement de but ni de destination. Il n'aspirait qu'à l'aventure. Une aventure faite de dangers, de découvertes et de richesses. Une aventure qui le rendrait plus fort, plus aguerri et plus riche. Plus il observait cette forêt et plus Farouk nourrissait de fantasmes à son sujet. Naguère, des aventuriers lui avaient narrés des récits de leurs aventures. Des récits parlant d'une faune dangereuse et hostile vivant au cœur de la forêt de Korri. Une faune faite d'animaux mais également d'esprits. Les marchands, lui avaient quant à eux contés les richesses que représentait la diversité de la flore que l'on pouvait y trouver. Des espèces si rares, qu'une seule plante suffisait à rendre un homme plus riche qu'il ne pouvait l'espérer. La tentation était trop forte. Farouk ne pouvait passer à côté de telles opportunités !
Sans même prendre la peine de prévenir son compagnon de route, Farouk se jeta soudain à l'eau. Il brava le courant du Sorlin pour finalement atteindre la rive opposée sous le regard interloqué – mais pourtant toujours serein – d'Hanish. Celui-ci ne tarda d'ailleurs pas à l'imiter et à le rejoindre tandis que Farouk prenait désormais la direction de l'orée des bois.