03-02-2014, 21:59:44
Swann avait pris du retard, ayant ramassé quelques amanites, une piqûre de moustique et la claque d'une centaurine a qui il avait manqué de respect.
En revenant enfin vers sa patrie, ses sens d'éclaireur ne le trompèrent pas : la forêt de Pelethor, habituellement si calme, était en effervescence. Il poursuivit plus à l'est, sur les traces de ces étrangetés. Des cadavres de loups, des membres d'araignées, des cadavres de sylvains qui n'avaient pas vraiment eu de chance étaient autant d'indices pour déterminer qu'il se tramait de curieuses choses.
Il entra a Daniör, pour constater qu'elle était vide, si l'on exceptait un garde au regard hagard, et en ressortit donc aussi sec pour suivre l'ouragan de destruction. Il n'eût pas besoin d'aller très loin, car celui-ci était en train... de revenir vers le village. Et il s'agissait des siens.
A la naïve question « Que s'est-il passé ici ? », il n'eut pour réponse qu'un vague, « boh, on a un peu fait le ménage ». Mais cela semblait tout autant percuter les autres qu'il y ait largement plus de prédateurs que n'en pouvait supporter l'écosystèpme de la forêt. Il y avait certainement quelque sortilèges à l'oeuvre sous le feuillage, car personne ne semblait à l'aise, pas même les druides pourtant réputés pour être des amoureux de la Forêt.
En revenant enfin vers sa patrie, ses sens d'éclaireur ne le trompèrent pas : la forêt de Pelethor, habituellement si calme, était en effervescence. Il poursuivit plus à l'est, sur les traces de ces étrangetés. Des cadavres de loups, des membres d'araignées, des cadavres de sylvains qui n'avaient pas vraiment eu de chance étaient autant d'indices pour déterminer qu'il se tramait de curieuses choses.
Il entra a Daniör, pour constater qu'elle était vide, si l'on exceptait un garde au regard hagard, et en ressortit donc aussi sec pour suivre l'ouragan de destruction. Il n'eût pas besoin d'aller très loin, car celui-ci était en train... de revenir vers le village. Et il s'agissait des siens.
A la naïve question « Que s'est-il passé ici ? », il n'eut pour réponse qu'un vague, « boh, on a un peu fait le ménage ». Mais cela semblait tout autant percuter les autres qu'il y ait largement plus de prédateurs que n'en pouvait supporter l'écosystèpme de la forêt. Il y avait certainement quelque sortilèges à l'oeuvre sous le feuillage, car personne ne semblait à l'aise, pas même les druides pourtant réputés pour être des amoureux de la Forêt.