01-02-2014, 01:22:11
La petite s'arrêta en entendant Miraak. Son sang bouillonnait déjà comme les marais suintant qui crachaient leurs bulles de gaz. Et pourtant, elle se tourna vers le leader de l'Ordre avec colère.
Tout avait disparu chez elle, la moindre compassion, la moindre terreur, le moindre amusement aussi...
"Vraiment ?
Une fille est en train d'être tenue prisonnière, et tu t'intéresses à l'argent ?
Vraiment ?
Tu avances, tu as besoin de soutien, on est obligés , tous, de te suivre. La prossaine fois, il faudra réfléssir avant de te zeter dans la gueule du loup.
Ze te couvres, on repart, au moins pour le troll. Mais arrête ce ton de commandant, on est tous égaux, TOUS !
Toi, moi, les autres. Dans ton regroupement, peut être que ça n'est pas le cas, chez nous, ça l'est. Et ssacun se serre les coudes pour progresser au mieux. Les ressources n'ont aucune valeur comparé à la vie d'une femme. Morts, pendus, nous n'auront pas le loisir d'en profiter.
Z'ai grandie dans la misère, ze peux continuer. Ce n'est pas le soucis.
Ragold a été choisi par Rakem. Si nous ne pouvions pas faire confiance à ce dernier, Ragold est de toute confiance.
C'est à lui de guider la troupe, de nous dire quoi faire. Toi, moi, n'avons aucune prétention à prétendre à la moindre forme d'autorité.
Nous sommes tous des guerriers, des combattants, sous diverses forme. Survivre n'est pas difficile...
Alors, écoutons Ragold, et faisons au mieux. Au diable les découvertes pécuniaires ou matérielles."
Elle repartit en direction du troll, écharpant les quelques gobelins qui l'entouraient, léchant sa dague pleine de sang sans la moindre compassion.
Elle n'avait pas l'intention de rire,
Elle exprimait son seul désir,
Celui de sauver la jeune dame,
Au risque d'élimer sa lame,
Car dans son coeur,
Poussait une fleur,
Celle de l'amitié,
Et de la fraternité.
Si la force était cohésive,
L'avidité était abrasive,
Et il fallait s'en défaire,
Si l'on voulait bien faire.
Tout avait disparu chez elle, la moindre compassion, la moindre terreur, le moindre amusement aussi...
"Vraiment ?
Une fille est en train d'être tenue prisonnière, et tu t'intéresses à l'argent ?
Vraiment ?
Tu avances, tu as besoin de soutien, on est obligés , tous, de te suivre. La prossaine fois, il faudra réfléssir avant de te zeter dans la gueule du loup.
Ze te couvres, on repart, au moins pour le troll. Mais arrête ce ton de commandant, on est tous égaux, TOUS !
Toi, moi, les autres. Dans ton regroupement, peut être que ça n'est pas le cas, chez nous, ça l'est. Et ssacun se serre les coudes pour progresser au mieux. Les ressources n'ont aucune valeur comparé à la vie d'une femme. Morts, pendus, nous n'auront pas le loisir d'en profiter.
Z'ai grandie dans la misère, ze peux continuer. Ce n'est pas le soucis.
Ragold a été choisi par Rakem. Si nous ne pouvions pas faire confiance à ce dernier, Ragold est de toute confiance.
C'est à lui de guider la troupe, de nous dire quoi faire. Toi, moi, n'avons aucune prétention à prétendre à la moindre forme d'autorité.
Nous sommes tous des guerriers, des combattants, sous diverses forme. Survivre n'est pas difficile...
Alors, écoutons Ragold, et faisons au mieux. Au diable les découvertes pécuniaires ou matérielles."
Elle repartit en direction du troll, écharpant les quelques gobelins qui l'entouraient, léchant sa dague pleine de sang sans la moindre compassion.
Elle n'avait pas l'intention de rire,
Elle exprimait son seul désir,
Celui de sauver la jeune dame,
Au risque d'élimer sa lame,
Car dans son coeur,
Poussait une fleur,
Celle de l'amitié,
Et de la fraternité.
Si la force était cohésive,
L'avidité était abrasive,
Et il fallait s'en défaire,
Si l'on voulait bien faire.