04-12-2013, 23:39:45
Il ne voulait plus jouer. Tout du moins, c'est ce qu'indiquaient ses yeux. Elle l'observa, quelques secondes, faire ses premiers pas hors de leur jeu, hors de leur monde. Ce monde qu'ils auraient pu créer… Elle eut un sourire, amusé. Non. Leurs deux chaos internes étaient trop distincts. Trop… lointains, pour se comprendre. Elle fit à nouveau un pas vers lui, non pas pour le suivre cette fois, mais pour le forcer à fuir comme il le faisait si bien à ce moment.
Tu as voulu êtrrre mon maîtrre… Mais tu ne connais rrrien de la soumission. De la torrrturre. De l'humiliation. Tu veux m'êtrrre supérrieurr, mais à la prremière escarrmouche, tu fuis. Tu n'es pas le chaos. Tu n'es pas la laideurr. Tu te masques. Tu te mens. Tu me mens.
C'était des reproches plus qu'autre chose. Tout le monde aurait aimé s'entendre dire cela. Personne ne voulait personne ressemblait au mal, encore moins à l'infini néant.
Mais elle, elle y ressemblait tellement. Comme un trou noir, où il n'y avait qu'une seule étoile, cette petite fleur, accrochée à son oreille, perçant au milieu de sa tignasse d'ébène.
J'ai t'ai vu, avec le centaurre. Tu sourriais… quand tu prrrenais sa vie.
Mais qu'en serrait-il si c'était la tienne ?
Elle avait souvent pensé à disparaître. La seule raison pour laquelle elle restait encore, c'était la douceur que lui offrait Estalia chaque jour. C'était aussi sa malédiction.
Elle avança de nouveau, de deux pas, sur la pointe des pieds, aussi légère et fragile qu'une plume.
Pourr êtrrre le maîtrre, il faut accepter l'autrrre comme son esclave. Tu ne m'acceptes pas.
Tu ne sais pas ce que c'est, qu'accepter les autrres…
Elle avait un sourire en prononçant ses mots, comme il lui semblait soudain si doux de les dire.
Tu as voulu êtrrre mon maîtrre… Mais tu ne connais rrrien de la soumission. De la torrrturre. De l'humiliation. Tu veux m'êtrrre supérrieurr, mais à la prremière escarrmouche, tu fuis. Tu n'es pas le chaos. Tu n'es pas la laideurr. Tu te masques. Tu te mens. Tu me mens.
C'était des reproches plus qu'autre chose. Tout le monde aurait aimé s'entendre dire cela. Personne ne voulait personne ressemblait au mal, encore moins à l'infini néant.
Mais elle, elle y ressemblait tellement. Comme un trou noir, où il n'y avait qu'une seule étoile, cette petite fleur, accrochée à son oreille, perçant au milieu de sa tignasse d'ébène.
J'ai t'ai vu, avec le centaurre. Tu sourriais… quand tu prrrenais sa vie.
Mais qu'en serrait-il si c'était la tienne ?
Elle avait souvent pensé à disparaître. La seule raison pour laquelle elle restait encore, c'était la douceur que lui offrait Estalia chaque jour. C'était aussi sa malédiction.
Elle avança de nouveau, de deux pas, sur la pointe des pieds, aussi légère et fragile qu'une plume.
Pourr êtrrre le maîtrre, il faut accepter l'autrrre comme son esclave. Tu ne m'acceptes pas.
Tu ne sais pas ce que c'est, qu'accepter les autrres…
Elle avait un sourire en prononçant ses mots, comme il lui semblait soudain si doux de les dire.