01-10-2013, 23:17:58
Le Khörg perdait des forces. Les coalisés avaient fait pleuvoir sur lui une avalanche de coups et de sorts ; avaient employé toute leur haine et toute leur énergie pour abattre le monstre qui avait causé tant de mal à leurs peuples respectifs.
Il était à bout de souffle ; ses blessures étaient sévères. Mais il ne pouvait tomber. Pas maintenant ! L'instant était trop précieux. Il ne pouvait laisser cette vermine l'abattre alors qu'il voyait enfin l'accomplissement de plusieurs dizaines d'années de préparation. Son plan était parfait ; il devait survivre pour le mener à bien, pour mener les légions démoniaques que vomissait le portail... peu importait le prix.
Il bloqua l'assaut magique d'un Centaure et fit jaillir une gerbe de flammes autour de lui. Les combattants qui le flanquaient reculèrent, obéissant davantage à leur instinct qu'à leur volonté. Profitant de ce répit, le Khörg s'empara d'une pierre qu'il avait dissimulée les dieux savent où. Il la brandit en susurrant de sombres paroles.
Aussitôt, des filets d'énergie noire jaillirent de la pierre et vinrent frapper de nombreux démons à proximité. Ils poussèrent des hurlements bestiaux de surprise lorsque l'énergie noire commença à les consumer, dévorant leurs corps comme des tentacules s'enroulant autour d'une proie.
Et tandis que les démons s'effondraient autour de lui, Urul semblait reprendre des forces, dévorant l'énergie des minions qu'il avait sacrifiés. Ses blessures se refermaient, et il éclata d'un rire démoniaque.
"La Pierre ! Arrachez-lui la pierre !" hurla une voix. L'instant d'après, une décharge d'énergie vint le frapper au niveau du bras. Il y eut un instant de flottement, durant lequel le silence parut se faire, puis ses doigts s'ouvrirent sous la violence du choc, et la pierre s'échappa pour rouler jusqu'au bord du lac de lave.
Cherchant des yeux le responsable, son regard se posa sur un grand individu au crâne chauve, qui semblait accompagner les coalisés. Ses yeux se plissèrent, luisant d'une haine farouche.
"Toi..." siffla-t-il.
Mais en un clin d'oeil, l'homme fut sur lui, parcourant en une seconde la distance qui les séparait et le frappant au visage de sa lourde masse métallique. Le démon glapit, mais l'étranger, se désintéressant de lui, hurla à ceux qui l'entouraient :
"Ne le laissez pas s'emparer de la pierre ! Votre vie en dépend !"
Il était à bout de souffle ; ses blessures étaient sévères. Mais il ne pouvait tomber. Pas maintenant ! L'instant était trop précieux. Il ne pouvait laisser cette vermine l'abattre alors qu'il voyait enfin l'accomplissement de plusieurs dizaines d'années de préparation. Son plan était parfait ; il devait survivre pour le mener à bien, pour mener les légions démoniaques que vomissait le portail... peu importait le prix.
Il bloqua l'assaut magique d'un Centaure et fit jaillir une gerbe de flammes autour de lui. Les combattants qui le flanquaient reculèrent, obéissant davantage à leur instinct qu'à leur volonté. Profitant de ce répit, le Khörg s'empara d'une pierre qu'il avait dissimulée les dieux savent où. Il la brandit en susurrant de sombres paroles.
Aussitôt, des filets d'énergie noire jaillirent de la pierre et vinrent frapper de nombreux démons à proximité. Ils poussèrent des hurlements bestiaux de surprise lorsque l'énergie noire commença à les consumer, dévorant leurs corps comme des tentacules s'enroulant autour d'une proie.
Et tandis que les démons s'effondraient autour de lui, Urul semblait reprendre des forces, dévorant l'énergie des minions qu'il avait sacrifiés. Ses blessures se refermaient, et il éclata d'un rire démoniaque.
"La Pierre ! Arrachez-lui la pierre !" hurla une voix. L'instant d'après, une décharge d'énergie vint le frapper au niveau du bras. Il y eut un instant de flottement, durant lequel le silence parut se faire, puis ses doigts s'ouvrirent sous la violence du choc, et la pierre s'échappa pour rouler jusqu'au bord du lac de lave.
Cherchant des yeux le responsable, son regard se posa sur un grand individu au crâne chauve, qui semblait accompagner les coalisés. Ses yeux se plissèrent, luisant d'une haine farouche.
"Toi..." siffla-t-il.
Mais en un clin d'oeil, l'homme fut sur lui, parcourant en une seconde la distance qui les séparait et le frappant au visage de sa lourde masse métallique. Le démon glapit, mais l'étranger, se désintéressant de lui, hurla à ceux qui l'entouraient :
"Ne le laissez pas s'emparer de la pierre ! Votre vie en dépend !"