27-01-2013, 13:01:32
Pendant que le gros des troupes elfes partait cueillir des champignons, et plus si affinité, un petit groupe restait près du prisonnier. Le nain avait récupéré la sante et sa bouffonnerie habituelle. Il avait même fini par oublier les elfes qui fouillaient les lieux et Kalina qui pointait une lame affuté près de son cou.
Krigam était bavard et sans doute fou. Apparemment, Frappe-rune et Krigam était deux facettes tout aussi agaçantes du petit bonhomme poilu. Lui parler révélait plus de la gymnastique mentale que de l'interrogatoire, et Merydwïn priait Fryelund de lui accorder la patience. Elle avait follement envie de demander à Kalina d'écourter ses souffrances en écourtant le nain. Mais la vie du grincheux ne lui appartenait plus. C'était un prisonnier de l'Empire.
Deux lettres étaient déjà parties vers Asteras. L'une narrant leur découverte, l'autre faisant état du très inattendu message reçu. En attendant la réponse du Gouvernement, les elfes s'étaient répartis pour soit interroger le prisonnier, soit fouiller les lieux à la recherche d'indices.
Le nain avait dit que les mineurs n'étaient pas avec lui. Il y aurait eu donc un groupe principal venu miner la caverne Kritchr et ce nain qui les accompagnait en plus. Ainsi le premier groupe avait « fini » son travail… Si c'était le cas, les elfes trouveraient les traces de minage. Les nabots n'avaient pas à venir se servir sur leurs terres. Par contre le Fou cherchait autre chose. Que pouvait bien vouloir un maitre des runes dans ce coin ?
« Alors, monsieur Frappe-rune, puisque vous ne voulez pas que Kirgam nous parle, je vais m'adresser à vous. Que vient donc « découvrir », au péril de sa vie, un maitre en runes dans la caverne des Kritchr ? »
L'elfe se demandait de plus en plus, si elle ne devait pas passer à des méthodes plus musclées. Elle avait déjà testé la « guerre psychologique » dans l'Ingemann, ça marcherait peut-être sur le nain. Après tout la deuxième lettre ne parlait que de son état physique.
Krigam était bavard et sans doute fou. Apparemment, Frappe-rune et Krigam était deux facettes tout aussi agaçantes du petit bonhomme poilu. Lui parler révélait plus de la gymnastique mentale que de l'interrogatoire, et Merydwïn priait Fryelund de lui accorder la patience. Elle avait follement envie de demander à Kalina d'écourter ses souffrances en écourtant le nain. Mais la vie du grincheux ne lui appartenait plus. C'était un prisonnier de l'Empire.
Deux lettres étaient déjà parties vers Asteras. L'une narrant leur découverte, l'autre faisant état du très inattendu message reçu. En attendant la réponse du Gouvernement, les elfes s'étaient répartis pour soit interroger le prisonnier, soit fouiller les lieux à la recherche d'indices.
Le nain avait dit que les mineurs n'étaient pas avec lui. Il y aurait eu donc un groupe principal venu miner la caverne Kritchr et ce nain qui les accompagnait en plus. Ainsi le premier groupe avait « fini » son travail… Si c'était le cas, les elfes trouveraient les traces de minage. Les nabots n'avaient pas à venir se servir sur leurs terres. Par contre le Fou cherchait autre chose. Que pouvait bien vouloir un maitre des runes dans ce coin ?
« Alors, monsieur Frappe-rune, puisque vous ne voulez pas que Kirgam nous parle, je vais m'adresser à vous. Que vient donc « découvrir », au péril de sa vie, un maitre en runes dans la caverne des Kritchr ? »
L'elfe se demandait de plus en plus, si elle ne devait pas passer à des méthodes plus musclées. Elle avait déjà testé la « guerre psychologique » dans l'Ingemann, ça marcherait peut-être sur le nain. Après tout la deuxième lettre ne parlait que de son état physique.