05-01-2011, 15:09:19
La Compagnie a marché pendant une ou deux heures avant de rejoindre les autres. La neige rendait la marche beaucoup plus lente que sur les pavés de la Cité, et les nains, bien que la neige tombe chaque cycle, furent surpris des difficultés rencontrées. S'ils voulaient combattre, il leur faudrait avant tout s'adapter aux conditions de la période. Bien sur, ils avaient prévu quelques rations, et de la bière. Principalement de ce nectar de Houblon!
Lorsque les diférents groupes furent réunis, les chef de chaque escadron s'entretinrent pour définir les objectifs et façons d'y parvenir.
Gronain est revenu vers sa Compagnie pour rapporter quelques détails. Nous étions nombreux, et tous tout autant motivés. Cette forte motivation avait encouragé les responsables, qui avaient alors tablé sur une avancée franche et rapide vers le village.
Le nombre posa cependant rapidement un problème: l'organisation n'était pas optimale, et il y eut vite une scission entre les nains rapides et les retardataires. Ronain et Grannain étaient aux avants postes. Très vite, ils tombèrent sur les premieres cibles. Ces premières cibles qui tombèrent rapidement sur les premiers coups. Ils étaient environ dix nains, face à quelques misérables.
Les brutes épaisses se ruèrent rapidement sur eux! La neige ne les retint étrangement pas! L'air des batailles leur avait comme donné des ailes! Sur la petite dizaine, la moitié seulement s'élança, et pourtant, l'assaut donnait une impression de grande armée! Les cris ed guerre résonnaient dans les plaines, les cris de terreur les suivaient. Les première victimes n'eurent le temps de réagir, et les armes ne connurent pas le choc métalique, mais uniquement l'entrée dans la chair fraiche! Trouvant une force surnaine, Ronain souleva son Marteau Runique pour le faire tournoyer avant d'ecraser la tete de son adversaire, qui fit un envol lointain sur le sol, puis vint la deuxieme victime qui n'encaissa que faiblement le coup porté!
Derrière, les quelques archers du contingent faisaient pleuvoir les fleches, ne laissant dans le ciel que peu de place aux flocons blancs. La rapidité des archers avait permis à un mur de fleches de s'abattre sur le champs de bataille, preparant le terrain aux guerriers, puis ce fut des tirs bien plus precis qui sifflèrent sur l'horizon. Grannain comptait ses fleches, pour etre sur de ne pas en rater, mais aussi pour lancer le concour avec ses frères d'arme. L'oeil vif, le bras ferme, ses flêches avaient la direction claire, et clouait au sol sa première cible, mise à terre par un guerrier. Puis vint la fleche de la délivrance, plus rapide que le coup d'épée qui s'appretait à oter la vie de la créature...
Lorsque les diférents groupes furent réunis, les chef de chaque escadron s'entretinrent pour définir les objectifs et façons d'y parvenir.
Gronain est revenu vers sa Compagnie pour rapporter quelques détails. Nous étions nombreux, et tous tout autant motivés. Cette forte motivation avait encouragé les responsables, qui avaient alors tablé sur une avancée franche et rapide vers le village.
Le nombre posa cependant rapidement un problème: l'organisation n'était pas optimale, et il y eut vite une scission entre les nains rapides et les retardataires. Ronain et Grannain étaient aux avants postes. Très vite, ils tombèrent sur les premieres cibles. Ces premières cibles qui tombèrent rapidement sur les premiers coups. Ils étaient environ dix nains, face à quelques misérables.
Les brutes épaisses se ruèrent rapidement sur eux! La neige ne les retint étrangement pas! L'air des batailles leur avait comme donné des ailes! Sur la petite dizaine, la moitié seulement s'élança, et pourtant, l'assaut donnait une impression de grande armée! Les cris ed guerre résonnaient dans les plaines, les cris de terreur les suivaient. Les première victimes n'eurent le temps de réagir, et les armes ne connurent pas le choc métalique, mais uniquement l'entrée dans la chair fraiche! Trouvant une force surnaine, Ronain souleva son Marteau Runique pour le faire tournoyer avant d'ecraser la tete de son adversaire, qui fit un envol lointain sur le sol, puis vint la deuxieme victime qui n'encaissa que faiblement le coup porté!
Derrière, les quelques archers du contingent faisaient pleuvoir les fleches, ne laissant dans le ciel que peu de place aux flocons blancs. La rapidité des archers avait permis à un mur de fleches de s'abattre sur le champs de bataille, preparant le terrain aux guerriers, puis ce fut des tirs bien plus precis qui sifflèrent sur l'horizon. Grannain comptait ses fleches, pour etre sur de ne pas en rater, mais aussi pour lancer le concour avec ses frères d'arme. L'oeil vif, le bras ferme, ses flêches avaient la direction claire, et clouait au sol sa première cible, mise à terre par un guerrier. Puis vint la fleche de la délivrance, plus rapide que le coup d'épée qui s'appretait à oter la vie de la créature...