26-08-2012, 08:02:23
Peu avant le départ de l'expédition, un nouveau sujet d'intérêt se présenta pour les curieux : les travaux de déblaiement et de terrassement avaient commencé, dans les ruines de Tilador Erdana. Nombreux s'intérogeaient déjà sur les plans de la future ville, en particulier vu le concours d'architecture peu orthodoxe qui avait été ouvert.
Quelques idées à ce sujet circulaient, mais relativement peu en fait. Sans doute la perspective de voir son propre projet choisi et réalisé, avec tout le prestige qui en découlerait pour les décennies, voire les siècles à venir poussait-elle la plupart à garder pour eux-mêmes leurs trouvailles.
En attendant la date fatidique et l'annonce du vainqueur, il ne restait donc que pour les commères et les piliers de bars à discuter du campement d'ouvrier installer juste à l'Ouest des ruines calcinées du village et des progrès rapides qui se faisaient. Différentes zones avaient déjà été déblayées, une zone spécifique avait été désignée pour le tri des débris, la récupération de certains matériaux, ne fut-ce que pour du remblai, réduirait d'autant les quantités de ressources à mettre en œuvre pour la reconstruction : même si un budget et des moyens conséquents semblaient avoir été accordés à l'Intendante, il était peu étonnant qu'en ces temps relativement difficiles pour l'Empire, une gestion économe des ressources soit appliquée partout où cela était possible.
Malgré le travail dur et les primes limitées, nombreux étaient les ouvriers qui avaient un ou plusieurs membres de famille – proche ou éloigné – parmi les réfugiés, et ceci ne les motivaient que plus pour leur rendre rapidement un nouveau lieu de séjour.
Quelques idées à ce sujet circulaient, mais relativement peu en fait. Sans doute la perspective de voir son propre projet choisi et réalisé, avec tout le prestige qui en découlerait pour les décennies, voire les siècles à venir poussait-elle la plupart à garder pour eux-mêmes leurs trouvailles.
En attendant la date fatidique et l'annonce du vainqueur, il ne restait donc que pour les commères et les piliers de bars à discuter du campement d'ouvrier installer juste à l'Ouest des ruines calcinées du village et des progrès rapides qui se faisaient. Différentes zones avaient déjà été déblayées, une zone spécifique avait été désignée pour le tri des débris, la récupération de certains matériaux, ne fut-ce que pour du remblai, réduirait d'autant les quantités de ressources à mettre en œuvre pour la reconstruction : même si un budget et des moyens conséquents semblaient avoir été accordés à l'Intendante, il était peu étonnant qu'en ces temps relativement difficiles pour l'Empire, une gestion économe des ressources soit appliquée partout où cela était possible.
Malgré le travail dur et les primes limitées, nombreux étaient les ouvriers qui avaient un ou plusieurs membres de famille – proche ou éloigné – parmi les réfugiés, et ceci ne les motivaient que plus pour leur rendre rapidement un nouveau lieu de séjour.