09-07-2012, 16:54:02
Mimir s'était dépêchée de rentrer à Karad. Ses frères et elle rentraient de mission : un vilain ver de pierre, quelques krytchrs et quelques chauve-souris en moins; le monde ne s'en porterait que mieux! Elle était fatiguée, non pas tant par les nuisibles, mais par les chamailleries incessantes de ses frangins.
En franchissant les portes de la ville, elle entendit l'annonce du crieur public au sujet du palais et du Thain. Elle ne prit pas trop le temps de comprendre l'intégralité du message qu'elle inspira profondément, puis partit en courant aux quatre coins de la ville vendre ce qu'elle avait dans sa besace pour s'alléger et arriver plus vite au palais.
Elle arriva devant le bâtiment mais ne prit pas le temps d'examiner l'extérieur. Elle poussa la lourde porte de bois et fut émerveillée par tant de splendeur.
Mimir, là encore, ne prit pas le temps de tout observer, car elle ne voulait pas gêner les ouvriers encore à l'oeuvre. Et puis elle avait aperçu le Thain au fond de la salle, ainsi que son conseiller et quelques nains déjà présents. Elle aperçut également Fatrina. Mimir lui tendit du bois de chêne qu'elle avait ramassé, mais la chef des travaux lui fit signe qu'elle n'en avait plus besoin.
Mimir s'agenouilla alors, comme le voulait l'étiquette. Elle aurait dû baisser la tête, mais ne pouvait s'empêcher de regarder autour d'elle. Mimir éleva la voix, mais pas trop, parce qu'elle était intimidée:
Gloire au Thain! Cette demeure est digne de votre grandeur ainsi que celle du peuple nain!
Mimir pouvait se permettre enfin de reprendre son souffle en attendant l'annonce du Thain, fière et heureuse de faire partie de ce grand peuple.
En franchissant les portes de la ville, elle entendit l'annonce du crieur public au sujet du palais et du Thain. Elle ne prit pas trop le temps de comprendre l'intégralité du message qu'elle inspira profondément, puis partit en courant aux quatre coins de la ville vendre ce qu'elle avait dans sa besace pour s'alléger et arriver plus vite au palais.
Elle arriva devant le bâtiment mais ne prit pas le temps d'examiner l'extérieur. Elle poussa la lourde porte de bois et fut émerveillée par tant de splendeur.
Mimir, là encore, ne prit pas le temps de tout observer, car elle ne voulait pas gêner les ouvriers encore à l'oeuvre. Et puis elle avait aperçu le Thain au fond de la salle, ainsi que son conseiller et quelques nains déjà présents. Elle aperçut également Fatrina. Mimir lui tendit du bois de chêne qu'elle avait ramassé, mais la chef des travaux lui fit signe qu'elle n'en avait plus besoin.
Mimir s'agenouilla alors, comme le voulait l'étiquette. Elle aurait dû baisser la tête, mais ne pouvait s'empêcher de regarder autour d'elle. Mimir éleva la voix, mais pas trop, parce qu'elle était intimidée:
Gloire au Thain! Cette demeure est digne de votre grandeur ainsi que celle du peuple nain!
Mimir pouvait se permettre enfin de reprendre son souffle en attendant l'annonce du Thain, fière et heureuse de faire partie de ce grand peuple.