07-05-2012, 13:28:15
La bière coulait à flots, ça faisait du bien à tout le monde. L'ambiance générale chez les nains était plutôt tendue en ce moment, mais l'heure était à la détente et à la galvanisation des troupes. Mimir en était à sa.... pfff ... elle ne comptait plus ses bières. Elle ne voyait pas encore double mais quelque chose commençait à la picoter. Ce n'était pas encore ses mains ni sa vue.
C'était plutôt au niveau du bas-ventre. Maintenant que sa soif était étanchée, il faudrait l'épancher.
Bon les filles, c'est pas l'tout, mais faut que j'fasse de la place dans mes boyaux pour la prochian'tournée!
Elle mit ses deux mains sur la table et se releva en poussant son tabouret. Finalement, maintenant qu'elle était debout, elle se rendait compte que ça tournait un peu. Cette bière était vraiment bonne. Mais il commençait à devenir urgent de la vider. Elle tituba légèrement vers les toilettes et pousa la porte des ses deux mains.
Sur la gauche, des nains braillaient sur leur pissotière en comparant la taille de leur machin, sur la droite, l'office-à-caca-qui-servait-aussi-de-dévidoir-pour-filles. Mimir se jetta sur la porte. Elle actionna deux trois fois la poignée dans tous les sens avant de se rendre compte que la porte était coincée.
Par Thuri, c'est pas l'moment!
Mimir sortit sa nouvelle hache et la regarda.
Ah non, pas la nouvelle, ce serait dommage!
Elle la rangea tant bien que mal et sortit sa vieille hache qui commençait à rouiller.
Ma chérie, tu f'ras l'affaire!
Elle leva sa hache pour l'abattre sur la poignée de porte. Mais son instrument s'abattit en plein milieu de la porte. En réalisant, Mimir grommela
C'était pas l'effet escompté, je crois que je suis un peu plus bourrée que je l'pensais!
C'est alors que Mimir entendit quelque chose qui venait de l'intérieur. C'était quelqu'un qui venait de gueuler quelque chose d'incompréhensible. La porte commença à s'ouvrir.
sup
En se retrouvant face à face, les deux personnages restèrent interloqués et se reconnurent..
Mimir baissa les yeux et engagea la conversation d'une voix fluette.
Désolée Merc'dhes, je croyais que c'te satanée chiotte était encore coincée.
Cela ne suffit pas, Mimir continua de se prendre une volée de bois vert dans la tronche par Merc'dhes qui hurlait. Mimir devait prendre une décision. Elle attrappa Merc'dhes par les épaules.
Merc'dhes, j'suis désolée. Là, j'en peux plus. J'te propose de me hurler d'ssus tout c'que tu voudras, mais je dois d'abord pisser. J'suis à une table avec deux autres naines, rejoins-nous et j'te paierai cette bière que je te dois.
Elle poussa la naine, et se jeta dans le cabinet.
Pendant qu'elle se soulegeait, elle vit sa hache en travers de la porte et secoua la tête.
Décidément, cette expédition commençait vraiment n'importe comment.
C'était plutôt au niveau du bas-ventre. Maintenant que sa soif était étanchée, il faudrait l'épancher.
Bon les filles, c'est pas l'tout, mais faut que j'fasse de la place dans mes boyaux pour la prochian'tournée!
Elle mit ses deux mains sur la table et se releva en poussant son tabouret. Finalement, maintenant qu'elle était debout, elle se rendait compte que ça tournait un peu. Cette bière était vraiment bonne. Mais il commençait à devenir urgent de la vider. Elle tituba légèrement vers les toilettes et pousa la porte des ses deux mains.
Sur la gauche, des nains braillaient sur leur pissotière en comparant la taille de leur machin, sur la droite, l'office-à-caca-qui-servait-aussi-de-dévidoir-pour-filles. Mimir se jetta sur la porte. Elle actionna deux trois fois la poignée dans tous les sens avant de se rendre compte que la porte était coincée.
Par Thuri, c'est pas l'moment!
Mimir sortit sa nouvelle hache et la regarda.
Ah non, pas la nouvelle, ce serait dommage!
Elle la rangea tant bien que mal et sortit sa vieille hache qui commençait à rouiller.
Ma chérie, tu f'ras l'affaire!
Elle leva sa hache pour l'abattre sur la poignée de porte. Mais son instrument s'abattit en plein milieu de la porte. En réalisant, Mimir grommela
C'était pas l'effet escompté, je crois que je suis un peu plus bourrée que je l'pensais!
C'est alors que Mimir entendit quelque chose qui venait de l'intérieur. C'était quelqu'un qui venait de gueuler quelque chose d'incompréhensible. La porte commença à s'ouvrir.
sup
En se retrouvant face à face, les deux personnages restèrent interloqués et se reconnurent..
Mimir baissa les yeux et engagea la conversation d'une voix fluette.
Désolée Merc'dhes, je croyais que c'te satanée chiotte était encore coincée.
Cela ne suffit pas, Mimir continua de se prendre une volée de bois vert dans la tronche par Merc'dhes qui hurlait. Mimir devait prendre une décision. Elle attrappa Merc'dhes par les épaules.
Merc'dhes, j'suis désolée. Là, j'en peux plus. J'te propose de me hurler d'ssus tout c'que tu voudras, mais je dois d'abord pisser. J'suis à une table avec deux autres naines, rejoins-nous et j'te paierai cette bière que je te dois.
Elle poussa la naine, et se jeta dans le cabinet.
Pendant qu'elle se soulegeait, elle vit sa hache en travers de la porte et secoua la tête.
Décidément, cette expédition commençait vraiment n'importe comment.