04-05-2012, 22:56:32
*Merydwïn regarda la naine de travers. Elle réfléchissait avant de parler ?*
"Deuxièmement, nous avons été menacés de mort par certains des vôtres donc il y a une petite vengeance"
"Si vous nous aviez attendus, vous auriez vu notre contribution à sauver le monde."
Oui, et nous aurions vu ... une guerre Elendaë contre nains pendant que les mages noires buvaient leur thé chaud du matin ? Qui aurait envie d'attendre son bourreau ?
D'ailleurs, on vous a attendu ... surprise ? On a gentiment dégagé un chemin de pierre, nettoyé la salle de quelques montres, mis a bas plusieurs Acolytes. Pris des coups aussi et quelques temps de pause. Sans beaucoup de nouvelles. Vous dites m'avoir écrit. Quand ? Pour les informations que j'avais, vous pouviez très bien être mort.
Il me semble qu'un point doit être éclaircit. Nous sommes arrivés épuisés devant les sbires de Nahgoth, qui est apparu par surprise sur le champ de bataille. Au bord de la mort pour beaucoup, nous avons tenté une dernière manœuvre pour sauver les vies qui restaient. Mais les sorts qui nous ont été retournés en réponse, nous auraient frappé qu'on parle ou qu'on attaque. Et quand je dis on, j'inclus tous les présents, car sauf Alonia, qui ne démérite ni de courage, ni de force d'idée, les autres nous ont regardé la bouche en coeur.
Il est bien plus simple de nous condamner maintenant, après n'avoir rien fait, sinon bénéficier de nos sorts d'aide.
N'allez pas croire que je néglige votre frustration ou votre fureur. Nous partageons quelque part la même rage. Mais déclencher un guerre en ces lieux n'arrangera rien.
"Deuxièmement, nous avons été menacés de mort par certains des vôtres donc il y a une petite vengeance"
"Si vous nous aviez attendus, vous auriez vu notre contribution à sauver le monde."
Oui, et nous aurions vu ... une guerre Elendaë contre nains pendant que les mages noires buvaient leur thé chaud du matin ? Qui aurait envie d'attendre son bourreau ?
D'ailleurs, on vous a attendu ... surprise ? On a gentiment dégagé un chemin de pierre, nettoyé la salle de quelques montres, mis a bas plusieurs Acolytes. Pris des coups aussi et quelques temps de pause. Sans beaucoup de nouvelles. Vous dites m'avoir écrit. Quand ? Pour les informations que j'avais, vous pouviez très bien être mort.
Il me semble qu'un point doit être éclaircit. Nous sommes arrivés épuisés devant les sbires de Nahgoth, qui est apparu par surprise sur le champ de bataille. Au bord de la mort pour beaucoup, nous avons tenté une dernière manœuvre pour sauver les vies qui restaient. Mais les sorts qui nous ont été retournés en réponse, nous auraient frappé qu'on parle ou qu'on attaque. Et quand je dis on, j'inclus tous les présents, car sauf Alonia, qui ne démérite ni de courage, ni de force d'idée, les autres nous ont regardé la bouche en coeur.
Il est bien plus simple de nous condamner maintenant, après n'avoir rien fait, sinon bénéficier de nos sorts d'aide.
N'allez pas croire que je néglige votre frustration ou votre fureur. Nous partageons quelque part la même rage. Mais déclencher un guerre en ces lieux n'arrangera rien.