22-04-2012, 22:18:57
Alneor Alda Maika :
Citation :Ils partirent donc encore une fois au matin, traversant la ville de nuit et arrivant à l'aube à Fea Aldeon.Le Loup :
Citation :Ils étaient arrivés à Fea Aldeon.
Plus de prêtresse, pas de roi mais de nombreux gardes.
Le Loup était éreinté mais espérait toujours un peu.
Qu'allait il se passer maintenant ? Allaient ils entrer dans l'auberge pour attendre ?
Il était toujours émerveillé par l'architecture sylvaine, peu adaptée aux centaures mais superbe, tant dans la conception, préservant la nature, que dans le résultat.
Et toujours pas de nouvelles du roi centaure..........
Citation :Cela faisait maintenant un moment qu'ils attendaient sans bouger.Séléné :
Des sylvains arrivaient et les entouraient : toujours curieux mais pas agressifs.
Le capitaine et les gardes faisaient bien attention à ce que Le Loup ne bouge pas. Et il ne bougeait pas, effectivement, et n'osait dire un mot de peur de froisser un elfe ou de rater un éventuel entretien avec le roi elfe...........
Le temps passait.
Citation :A Naël'Kaldora, les papiers défilaient pour évoquer la situation au niveau des démons ainsi que les témoignages et les demandes vis-à-vis de l'enterrement. Le message, envoyé par un pli elfique fut alors volontairement oublié par le Roi, décidé à régler les problèmes centaures avant ceux de ses voisins. S'il avait su que cette missive venait d'un de ses compatriotes, il aurait sûrement agi différemment. Mais il se pencherait dessus, bien assez tôt.Le Loup :
Citation :Ils attendaient toujours.........Alneor Alda Maika :
Les rois avaient l'habitude de se faire attendre mais, la, celui ci exagérait. Si c'était bien à un discours qu'ils étaient venus assister bien sûr.
Entouré comme il l'était, Le Loup était toujours immobile et silencieux, d'autant que le capitaine ne lui adressait pas la parole.
Une autre chose le tourmentait : cela faisait un moment déjà qu'il avait envoyé une missive à son roi et il n'avait toujours pas reçu d réponse. Les elfes lui avaient ils mentis en lui disant avoir envoyé le message ? La missive avait elle été perdue ? Ou la réponse ? Son roi ne s'intéressait il pas aux affaires avec les elfes et refusait de lui répondre malgré la mission confiée ? Son roi estimait il que Le Loup avait échoué dans sa mission et avait décidé de ne pas lui répondre ?
Il était temps que le roi sylvain prenne la parole car Le Loup commençait à avoir des pensées bizarres, voir négatives.......
Sans réponse de l'autorité centaure, il faudrait improviser et faire au mieux pour réussir la tâche qu'il s'était fixée. Il n'y avait pas de raisons de se poser des questions, les réponses arriveraient en leur temps....
Grâce à la magie de la lune, il fit en sorte d'augmenter son champs de vision afin d'apercevoir le roi sylvain dès qu'il arriverait.
Citation :Tout le monde semblait particulièrement impatient... le temps passait et toujours quasiment à part quelques habitants de Fea Aldeon, quelques gardes, trois sylvains équipés et apparemment prêts pour le combat et pressés d'en découdre.
Le capitaine semblait plus impatient à chaque heure qui passait, ce qui finissait par faire un certains nombre. Il finit par monter sur son cheval, se tournant vers le centaure présent à ses côtés, lui adressant quelques mots en langue que vous supposez centaure, puis partit au galop vers la capitale... Enfin, c'est que vous croyez avant qu'il ne descende quelques dizaines de mètres plus loin sur une légère butte et regarde attentivement vers le sud-est. Après quelques instants, le voilà de retour, tenant sa monture par la bride.
La confiant à un garde avant de se tenir debout, un peu surélevé par les énormes racines d'un des chênes millénaires formant le village, il s'adressa alors aux présents... en sylvain.
Vous arrivez cependant à comprendre qu'il parle du fameux village de démonistes et que les gens présents sont ici pour une mission, comprendre laquelle ne vous prend pas longtemps.
Après un discours plutôt habituel, sur un ton épique à souhait, suivent ce qui semble être une série d'instructions données sur un ton militaire, se terminant sur... une question ?... au ton ?
Le respect soudain dont font preuve les sylvains présents ainsi que l'assurance du capitaine commencent à vous mettre un léger doute... qui vole en éclat lorsqu'il vous demande, avec un sourire éclatant et quelque peu moqueur, en centaure :
Donc... nous avions un rendez-vous je crois !