08-12-2010, 08:25:15
A vision des deux elfes, Ulyr se raidit, des maudits elfes, sur leurs terres ! Instinctivement, il attrapa la corde de son arbalète et la tendit, il enclencha un carreau au lieu prévu à cet effet. Ses gros doigts malgré leur taille importante étaient doué d'une dextérité importante, il par ailleurs un de ces airs de vétéran renfrogné. En y pensant, il était l'archétype du nain. Ses bras eurent un léger mouvement, lorsque la jeune femme tendit le sceau. De façon inconsciente, il l'avait mis en joug, prêt à décocher un tir mortel au cas où la jeune femme n'use de ses dons pour l'attaquer. La vieille rancune qu'il avait contre les elfes était tenace et comme chacun le sait, le peuple de sous la montagne n'oublie jamais.
Cependant, ses doigts restèrent crispés et il ne décocha nul trait. Ecoutant simplement les paroles de la dénommé Elhuine. Oui, on lui avait parlé de ces « ambassadeurs », et il connaissait les règles auxquels ils allaient devoir se plier. Il baissa doucement, entement mais inexorablement son arme avant que sa voix gutturale et dur ne viennent les frapper :
« Ce sceau est vrai… Et j'ai entendu parler de votre venu. »
Il dévisagea les deux jeunes femmes qu'il pouvait voir et ajouta à la dénommé Ehluine :
« Passez devant, je vais vous menez à notre roi… Ha, l'on me nomme Ulyr »
Il fit un pas vers eux, se déplaça légèrement sur le côté, les invitant ainsi à passer devant lui. Pourquoi diable le roi avait il accepté de les voir ? Il cracha dans sa langue natale inconnu majoritairement aux peuple du sud « peste soit ces eldars… ». Et il soupira…
Cependant, ses doigts restèrent crispés et il ne décocha nul trait. Ecoutant simplement les paroles de la dénommé Elhuine. Oui, on lui avait parlé de ces « ambassadeurs », et il connaissait les règles auxquels ils allaient devoir se plier. Il baissa doucement, entement mais inexorablement son arme avant que sa voix gutturale et dur ne viennent les frapper :
« Ce sceau est vrai… Et j'ai entendu parler de votre venu. »
Il dévisagea les deux jeunes femmes qu'il pouvait voir et ajouta à la dénommé Ehluine :
« Passez devant, je vais vous menez à notre roi… Ha, l'on me nomme Ulyr »
Il fit un pas vers eux, se déplaça légèrement sur le côté, les invitant ainsi à passer devant lui. Pourquoi diable le roi avait il accepté de les voir ? Il cracha dans sa langue natale inconnu majoritairement aux peuple du sud « peste soit ces eldars… ». Et il soupira…