05-04-2012, 12:47:32
La mission dans la mine avait été fatal à Esus, il avait reçu plusieurs coups violents de la part d'une chauve-sourie dominante. Mais la grande Aletheria, par sa grâce et voyant qu'il était mort pour le salut de l'esprit de plusieurs de ses filles et fils, renvoya Esus dans le monde des vivants, dans le grand temple d'Aletheria à Naël'Kaldora.
Esus, encore comateux, écarquilla les yeux et vit l'une des prêtresse au dessus de lui, lui prodiguant les soins nécessaires à sa convalescence. C'est alors qu'il se débattit légèrement, encore endolori par ses blessures, et commença à dire à la prêtresses qui s'occupait de lui:
Laissez moi, je ne mérite pas la cadeau qu'Aletheria m'a fait, j'ai échoué dans ma mission, je n'ai pas réussi à ramener l'argent que j'avais promis pour l'enterrement des notre et maintenant que je suis là le nain n'honora pas sa promesse ou il ne nous les fera parvenir bien trop tard.
Sur ces mots Esus tourna la tête d'un coté et de l'autre, cherchant quelqu'un du regard:
Où est la grande prêtresse ? Elle et nos frères ne sont pas encore revenus ? peut être ai-je le temps dans ce cas d'aller dans les collines en récupérer, je dois partir sans tarder.
A peine pouvait-il se remettre sur ces quatre pattes qu'Esus se prosterna quelques secondes devant l'autel d'Aletheria
Je ne gâcherai pas la deuxième chance que vous m'avez accordé. Je mettrai tout en œuvre pour ramener l'argent nécessaire à enterrer mes frères et mes sœurs dignement avant qu'il ne soit trop tard.
Il sorti ensuite précipitamment du temple et pris la direction de la sorti Est des la ville en quête de minerai d'argent.
Mais à peine avait-il fait quelques mètres qu'un messager s'approcha de lui:
Ah vous voilà enfin, cela fait maintenant quelque temps que je vous cherche. Un dénommé Lognar Craggensson m'a demandé de vos faire parvenir ce billet.
Esus prit le billet et commença sa lecture, après quelques secondes Esus devint beaucoup plus apaisé, Aletheria était encore et toujours à ses cotés. Le message disait que Lognar avait envoyé, en direction de Naël'Kaldora, les minerai d'argent qu'il avait gagné en nettoyant la mine du nain. L'argent arriverai surement à temps pour l'enterrement et cela ravissait son cœur.
Esus, encore comateux, écarquilla les yeux et vit l'une des prêtresse au dessus de lui, lui prodiguant les soins nécessaires à sa convalescence. C'est alors qu'il se débattit légèrement, encore endolori par ses blessures, et commença à dire à la prêtresses qui s'occupait de lui:
Laissez moi, je ne mérite pas la cadeau qu'Aletheria m'a fait, j'ai échoué dans ma mission, je n'ai pas réussi à ramener l'argent que j'avais promis pour l'enterrement des notre et maintenant que je suis là le nain n'honora pas sa promesse ou il ne nous les fera parvenir bien trop tard.
Sur ces mots Esus tourna la tête d'un coté et de l'autre, cherchant quelqu'un du regard:
Où est la grande prêtresse ? Elle et nos frères ne sont pas encore revenus ? peut être ai-je le temps dans ce cas d'aller dans les collines en récupérer, je dois partir sans tarder.
A peine pouvait-il se remettre sur ces quatre pattes qu'Esus se prosterna quelques secondes devant l'autel d'Aletheria
Je ne gâcherai pas la deuxième chance que vous m'avez accordé. Je mettrai tout en œuvre pour ramener l'argent nécessaire à enterrer mes frères et mes sœurs dignement avant qu'il ne soit trop tard.
Il sorti ensuite précipitamment du temple et pris la direction de la sorti Est des la ville en quête de minerai d'argent.
Mais à peine avait-il fait quelques mètres qu'un messager s'approcha de lui:
Ah vous voilà enfin, cela fait maintenant quelque temps que je vous cherche. Un dénommé Lognar Craggensson m'a demandé de vos faire parvenir ce billet.
Esus prit le billet et commença sa lecture, après quelques secondes Esus devint beaucoup plus apaisé, Aletheria était encore et toujours à ses cotés. Le message disait que Lognar avait envoyé, en direction de Naël'Kaldora, les minerai d'argent qu'il avait gagné en nettoyant la mine du nain. L'argent arriverai surement à temps pour l'enterrement et cela ravissait son cœur.