14-03-2012, 13:25:33
Afiralia déboula dans le temple, essoufflée, faillant glisser sur le dallage éclatant et s'étaler de tout son long devant la magnifie statue d'argent érigée en l'honneur de sa déesse.
Elle soupira de soulagement en apercevant la Grande Prêtresse. Visiblement, le groupe n'était pas déjà parti, elle avait donc encore une chance d'accomplir son devoir de fille d'Aletheria.
Elle s'étonna de ne voir personne à part les prêtresses, mais décida de reporter cette question à plus tard.
Rouge par l'effort et la honte, elle tenta tant bien que mal de récupérer son souffle et d'essayer d'arranger ses cheveux afin de se donner une allure un minimum convenable avant d'aller se présenter à la Grande Prêtresse... Sans succès.
Agacée de ses échecs répétitifs, elle décida d'abandonner, puis prenant une grande inspiration s'approcha de la splendide femme centaure qui incarnait la présence de la déesse au sein de la ville.
La druidesse était que plus intimidée, tant elle admirait cette femme, qu'elle considérait comme l'être le plus proche de la Lune... Et en ressentait également une certaine jalousie.
Chassant cette dernière, elle s'inclina très respectueusement devant la Grande Prêtresse, et bégéyant, tenta d'articuler les mots suivants tout en gardant les yeux rivés au sol, tant son repsect était grand:
-Se-Seleron Gr-Grande Prêtresse, je me no-nomme Afi-fi-firalia, de l'Ir-r-rih Aletheria.
Je me pré-présente à vous pour-pour répondre à votre appel et aller cher-chercher les corps de nos frères et so-oeurs.
Je vous pr-pr... prie de me laisser me joindre au grou-grooupe chargé de cette no-noble mission.
Se maudissant intérieurement de son incapacité à prononcer un discours compréhensible, et se mordant la lèvre inférieur devant son impuissance, et arriva néanmoins à ajouter avec moins de tremblements dans la voix:
Un autre membre de ma guilde, nommé Le Loup, devr-vrait également nous re-rejoindre très bientôt, et j'aimer-rais que nous attendions son arr-arrivée avant de partir, si cela ne vous-vous dérange pas...
Afiralia garda la tête baissée, attendant la réponse de la Prêtresse.
Elle soupira de soulagement en apercevant la Grande Prêtresse. Visiblement, le groupe n'était pas déjà parti, elle avait donc encore une chance d'accomplir son devoir de fille d'Aletheria.
Elle s'étonna de ne voir personne à part les prêtresses, mais décida de reporter cette question à plus tard.
Rouge par l'effort et la honte, elle tenta tant bien que mal de récupérer son souffle et d'essayer d'arranger ses cheveux afin de se donner une allure un minimum convenable avant d'aller se présenter à la Grande Prêtresse... Sans succès.
Agacée de ses échecs répétitifs, elle décida d'abandonner, puis prenant une grande inspiration s'approcha de la splendide femme centaure qui incarnait la présence de la déesse au sein de la ville.
La druidesse était que plus intimidée, tant elle admirait cette femme, qu'elle considérait comme l'être le plus proche de la Lune... Et en ressentait également une certaine jalousie.
Chassant cette dernière, elle s'inclina très respectueusement devant la Grande Prêtresse, et bégéyant, tenta d'articuler les mots suivants tout en gardant les yeux rivés au sol, tant son repsect était grand:
-Se-Seleron Gr-Grande Prêtresse, je me no-nomme Afi-fi-firalia, de l'Ir-r-rih Aletheria.
Je me pré-présente à vous pour-pour répondre à votre appel et aller cher-chercher les corps de nos frères et so-oeurs.
Je vous pr-pr... prie de me laisser me joindre au grou-grooupe chargé de cette no-noble mission.
Se maudissant intérieurement de son incapacité à prononcer un discours compréhensible, et se mordant la lèvre inférieur devant son impuissance, et arriva néanmoins à ajouter avec moins de tremblements dans la voix:
Un autre membre de ma guilde, nommé Le Loup, devr-vrait également nous re-rejoindre très bientôt, et j'aimer-rais que nous attendions son arr-arrivée avant de partir, si cela ne vous-vous dérange pas...
Afiralia garda la tête baissée, attendant la réponse de la Prêtresse.