Irimarë Olosta
25-01-2014, 23:25:08
A son arrivé à Mitriath, la première et unique préoccupation de Mentes était d'aller se rendre au temple d'Halista. En effet c'était en bien sale état, qu'il revenait par chance d'une douloureuse expédition. Blessé de toute part, brulé, et frappé quasiment à mort comme il n'avait jamais vécu. La douleur que chaque pas lui infligeait lui transpercer le crane telle une lame psychique. Le cerveau en feu il tentait désespérément de rester éveillée et d'arriver au temple.
Sa vision et son attention brouillé par la souffrance, et surtout totalement concentré sur chacun de ses pas, il ne prêta pas attention, et ne remarquas tout simplement pas la présence d'un large groupe rassembler autour de l'archidruide Helyanwë - bien qu'il ne sut son rang et son nom qu'après. C'est clopinant que Mentes rentra dans le temple d'Halista par un ultime effort il marcha vers son salut incarné par une prêtresse au visage divinement beau. C'est sur cette charmante image que Mentes se plongea vers les domaines onirique avant même d'avoir adressé une prière à Halista.
Les rêves, lieu des extrêmes ou tout possible, domaine de la liberté absolue. Cette fois ci le rêve de Mentes était un rêve blanc, quoiqu'il se passa dans ce rêve tout y était d'un étrange blanc. Tranquillement enfoncé dans les nuages de coton de ce songe suave quand le cauchemar rattrapa le tranquille rêveur. Ombre noire et rouge, rappel du sang perdu, ce simulacre emplit les nuées avant de s'élancer à l'assaut du désormais moins tranquille rêveur. C'est suant, haletant et agité que se réveilla brutalement Mentes.
Pas une seule nuit ne se passait sans qu'un rêve d'un délice parfait ou d'une horreur sans égale ne s'empare de son esprit. Désormais réveiller et en bien meilleur forme il fit le pari fou mais réussis d'aller manger à l'auberge.
Admiratif devant le talent, et la beauté de la prêtresse qui s'était occupait de lui il ne prêta pas plus attention à l'attroupement en partant du temple qu'en y arrivant. Après avoir pris un solide repas à l'auberge, il rendit visite à un ancien ami et quelques autres personnes. Pour finir il se confectionna avec le cuir trouvé sur des loups, de solide bracelet très pratique pour tirer à l'arc. Riche comme jamais avec ses ventes il s'offrit une des meilleures armures sylvaines sur laquelle il avait fait trop souvent un bien étrange rêve.
Vert, ce rêve ci était vert. Vert comme les feuille de printemps, comme l'herbe des plaines avant que le soleil n'en fasse de la poussière. Vert comme le poison. Vert comme les cadavres décomposées ou vert comme cet être aberrant. Composée de bulbe accrochée les un autres, recouvert d'un fluide visqueux faisant ressortit sa couleur pourpre ou bien n'était-ce pas plutôt mauve. La couleur avait peu d'importance c'était son gant noire au reflet moirée qui était le centre de ce monde. Le regard et l'esprit de Mentes fut happée par une petite marque, plus sombre, plus mat du gant.
Distorsion, écartèlement, obscurité. Voilà ce qu'était ce rêve-ci. Le corps et l'esprit en morceaux, le fou percevait des nuances de noires traçant des arabesques sans fin et sans sens. Le vent dispersait son esprit, liquéfié sa mémoire comme dans ce rêve bleue...
"Alors qu'en pensez-vous ? "
"Euh, bah parfaite. "
"Pas besoin de retouche ? »
"C'est vous l'expert "
"Ca seras toujours plus confortable. Revenez d'ici une heure et j'aurais finis. "
Sortis de sa rêverie par l'armurier, l'envie de retourner dans les rêves tiraillés Mentes mais celui s'imposa une sévère discipline. Il avait encore à faire et sa quête de sa mythique et trop probablement imaginaire Carnine ne pourrait avancer s'il se plongeait en permanence dans ses rêves imparfaits. Mentes ajouta a son achat une excellente paire de bottes. Sa journée était désormais libre, il comptait passer quelques jours pour récupérer avant de repartir il ne savait trop ou. L'errance et le hasard était ses guides. Aucun indice, aucun rêve, aucune aide ne venez lui donner une indication de la route de la poudre salvatrice. Après être allé s'entrainer et récupérée son armure sortis de son rêve de l'arbre aux 712 feuilles il alla à la rencontre de Pelytna. Cette vaillante guerrière avait un nouvel arc, enchantée, à lui donner, enfin plutôt échanger contre quelques pierres précieuses.
Ce fut à cet ainsi qu'il remarqua, en passant devant pour la troisième fois devant, l'attroupement. Intrigué il décida d'aller chercher son origine après avoir effectué son échange. L'échange fut rapide et simple comme on peut se comprendre entre compagnon de route et de combat.
La joyeuse humeur qui enveloppait sans raison le protagoniste de ces lignes se dissipa comme loyauté face aux Holdars lorsqu'il connut le problème qui agitait ce groupe.
Sa vision et son attention brouillé par la souffrance, et surtout totalement concentré sur chacun de ses pas, il ne prêta pas attention, et ne remarquas tout simplement pas la présence d'un large groupe rassembler autour de l'archidruide Helyanwë - bien qu'il ne sut son rang et son nom qu'après. C'est clopinant que Mentes rentra dans le temple d'Halista par un ultime effort il marcha vers son salut incarné par une prêtresse au visage divinement beau. C'est sur cette charmante image que Mentes se plongea vers les domaines onirique avant même d'avoir adressé une prière à Halista.
Les rêves, lieu des extrêmes ou tout possible, domaine de la liberté absolue. Cette fois ci le rêve de Mentes était un rêve blanc, quoiqu'il se passa dans ce rêve tout y était d'un étrange blanc. Tranquillement enfoncé dans les nuages de coton de ce songe suave quand le cauchemar rattrapa le tranquille rêveur. Ombre noire et rouge, rappel du sang perdu, ce simulacre emplit les nuées avant de s'élancer à l'assaut du désormais moins tranquille rêveur. C'est suant, haletant et agité que se réveilla brutalement Mentes.
Pas une seule nuit ne se passait sans qu'un rêve d'un délice parfait ou d'une horreur sans égale ne s'empare de son esprit. Désormais réveiller et en bien meilleur forme il fit le pari fou mais réussis d'aller manger à l'auberge.
Admiratif devant le talent, et la beauté de la prêtresse qui s'était occupait de lui il ne prêta pas plus attention à l'attroupement en partant du temple qu'en y arrivant. Après avoir pris un solide repas à l'auberge, il rendit visite à un ancien ami et quelques autres personnes. Pour finir il se confectionna avec le cuir trouvé sur des loups, de solide bracelet très pratique pour tirer à l'arc. Riche comme jamais avec ses ventes il s'offrit une des meilleures armures sylvaines sur laquelle il avait fait trop souvent un bien étrange rêve.
Vert, ce rêve ci était vert. Vert comme les feuille de printemps, comme l'herbe des plaines avant que le soleil n'en fasse de la poussière. Vert comme le poison. Vert comme les cadavres décomposées ou vert comme cet être aberrant. Composée de bulbe accrochée les un autres, recouvert d'un fluide visqueux faisant ressortit sa couleur pourpre ou bien n'était-ce pas plutôt mauve. La couleur avait peu d'importance c'était son gant noire au reflet moirée qui était le centre de ce monde. Le regard et l'esprit de Mentes fut happée par une petite marque, plus sombre, plus mat du gant.
Distorsion, écartèlement, obscurité. Voilà ce qu'était ce rêve-ci. Le corps et l'esprit en morceaux, le fou percevait des nuances de noires traçant des arabesques sans fin et sans sens. Le vent dispersait son esprit, liquéfié sa mémoire comme dans ce rêve bleue...
"Alors qu'en pensez-vous ? "
"Euh, bah parfaite. "
"Pas besoin de retouche ? »
"C'est vous l'expert "
"Ca seras toujours plus confortable. Revenez d'ici une heure et j'aurais finis. "
Sortis de sa rêverie par l'armurier, l'envie de retourner dans les rêves tiraillés Mentes mais celui s'imposa une sévère discipline. Il avait encore à faire et sa quête de sa mythique et trop probablement imaginaire Carnine ne pourrait avancer s'il se plongeait en permanence dans ses rêves imparfaits. Mentes ajouta a son achat une excellente paire de bottes. Sa journée était désormais libre, il comptait passer quelques jours pour récupérer avant de repartir il ne savait trop ou. L'errance et le hasard était ses guides. Aucun indice, aucun rêve, aucune aide ne venez lui donner une indication de la route de la poudre salvatrice. Après être allé s'entrainer et récupérée son armure sortis de son rêve de l'arbre aux 712 feuilles il alla à la rencontre de Pelytna. Cette vaillante guerrière avait un nouvel arc, enchantée, à lui donner, enfin plutôt échanger contre quelques pierres précieuses.
Ce fut à cet ainsi qu'il remarqua, en passant devant pour la troisième fois devant, l'attroupement. Intrigué il décida d'aller chercher son origine après avoir effectué son échange. L'échange fut rapide et simple comme on peut se comprendre entre compagnon de route et de combat.
La joyeuse humeur qui enveloppait sans raison le protagoniste de ces lignes se dissipa comme loyauté face aux Holdars lorsqu'il connut le problème qui agitait ce groupe.